Löydetty 114 Tulokset: résistance au travail
Et qui sait s'il sera sage ou insensé? Cependant il sera maître de mon travail, dans lequel j'ai mis ma peine et ma sagesse sous le soleil. C'est encore là une vanité. 20.Et j'en suis venu à livrer mon c?ur au découragement, à cause de tout le travail que j'ai fait sous le soleil. (Ecclésiaste (or Qohélet) 2, 19)
Car, qu'un homme qui a déployé dans son travail sagesse, intelligence et habileté, en laisse le fruit en partage à un homme qui n'y a pas travaillé: c'est encore là une vanité et un grand mal. (Ecclésiaste (or Qohélet) 2, 21)
En effet, que revient-il à l'homme de tout son travail, et du souci de son c?ur, qui le fatiguent sous le soleil? (Ecclésiaste (or Qohélet) 2, 22)
Il n'y a rien de meilleur pour l'homme que de manger et de boire, et de faire jouir son âme du bien-être, au milieu de son travail; mais j'ai vu que cela aussi vient de la main de Dieu. (Ecclésiaste (or Qohélet) 2, 24)
Et en même temps que si un homme mange et boit, et jouit du bien-être au milieu de son travail, c'est là un don de Dieu. (Ecclésiaste (or Qohélet) 3, 13)
J'ai vu que tout travail et que toute habileté dans un ouvrage n'est que jalousie contre un homme de la part de son prochain: cela encore est vanité et poursuite du vent. (Ecclésiaste (or Qohélet) 4, 4)
Tel homme est seul et n'a pas de second, il n'a ni fils ni frère, et pourtant il n'y a pas de fin à tout son travail, et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses: "Pour qui donc est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de jouissance?" Cela encore est vanité, et mauvaise occupation. (Ecclésiaste (or Qohélet) 4, 8)
Mieux vaut vivre à deux que solitaire; il y a pour les deux un bon salaire dans leur travail; (Ecclésiaste (or Qohélet) 4, 9)
Tel qu'il est sorti du sein de sa mère, il s'en retournera nu, comme il était venu; et il ne recevra rien pour son travail, qu'il puisse emporter dans sa main: (Ecclésiaste (or Qohélet) 5, 14)
Voici donc ce que j'ai vu: c'est qu'il est bon et séant pour l'homme de manger et de boire et de jouir du bien-être dans tout son travail, auquel il se livre sous le soleil, durant les jours de vie que Dieu lui donne; car c'est là sa part. (Ecclésiaste (or Qohélet) 5, 17)
De plus, pour tout homme à qui Dieu donne richesses et biens, avec pouvoir d'en manger, d'en prendre sa part et de se réjouir de son travail, c'est là un don de Dieu. (Ecclésiaste (or Qohélet) 5, 18)
Tout le travail de l'homme est pour sa bouche; mais ses désirs ne sont jamais satisfaits. (Ecclésiaste (or Qohélet) 6, 7)