Encontrados 961 resultados para: culte à Jérusalem

  • Il prit donc encore des concubines et des femmes de Jérusalem, après qu'il y fut venu d'Hébron; et il en eut d'autres fils et d'autres filles. (2 Samuel 5, 13)

  • Voici le nom des fils qu'il eut à Jérusalem: Samua, Sobab, Nathan, Salomon, (2 Samuel 5, 14)

  • Et David prit les armes d'or des serviteurs d'Adarézer, et les porta à Jérusalem. (2 Samuel 8, 7)

  • Or Miphiboseth demeurait à Jérusalem, parce qu'il mangeait toujours à la table du roi; et il était boiteux des deux jambes. (2 Samuel 9, 13)

  • Les Ammonites vooyant la fuite des Syriens, s'enfuirent aussi eux-mêmes devant Abisaï, et se retirèrent dans la ville. Et Joab, après avoir battu les Ammonites, s'en retourna, et revint à Jérusalem. (2 Samuel 10, 14)

  • L'année suivante, au temps où les rois ont coutume d'aller à la guerre, David envoya Joab avec ses officiers et toutes les troupes d'Israël, qui ravagèrent le pays des Ammonites, et assiégèrent Rabba. Mais David demeura à Jérusalem. (2 Samuel 11, 1)

  • David dit donc à Urie : Demeurez ici aujourd'hui encore, et je vous renverrai demain. Urie demeura donc à Jérusalem ce jour-là, et jusqu'au lendemain. (2 Samuel 11, 12)

  • Et ayant fait sortir les habitants, il les coupa avec des scies, fit passer sur eux des traîneaux bardés de fer, les tailla en pièces avec des couteaux, et les jeta dans des fours à briques. C'est ainsi qu'il traita toutes les villes des Ammonites. David revint ensuite à Jérusalem avec toutee son armée. (2 Samuel 12, 31)

  • Joab partit donc, et s'en alla à Gessur, d'où il amena Absalom à Jérusalem. (2 Samuel 14, 23)

  • Absalom demeura deux ans à Jérusalem, sans voir le roi. (2 Samuel 14, 28)

  • Car lorsque j'étais à Gessur, en Syrie, j'ai fait ce voeu à Dieu : Si le Seigneur me ramène à Jérusalem, je Lui offrirai un sacrifice. (2 Samuel 15, 8)

  • Or Absalom emmena avec lui de Jérusalem deux cents hommes, qui le suivirent simplement, sans savoir en aucune sorte le dessein de ce voyage. (2 Samuel 15, 11)


“O demônio é forte com quem o teme, mas é fraco com quem o despreza.” São Padre Pio de Pietrelcina