Löydetty 368 Tulokset: Saül

  • Saül et les hommes d'Israël se rassemblèrent aussi et campèrent dans la vallée de Térébinthe; ils se rangèrent en bataille en face des Philistins. (1 Samuel 17, 2)

  • Goliath s'arrêta et, s'adressant aux bataillons d'Israël, il leur cria: « Pouquoi êtes-vous sortis pour vous ranger en bataille? Ne suis-je pas le Philistin, et n'êtes-vous pas les esclaves de Saül? Choisissez un homme qui descende contre moi. (1 Samuel 17, 8)

  • En entendant ces paroles du Philistin, Saül et tout Israël furent effrayés et saisis d'une grande crainte. (1 Samuel 17, 11)

  • Or David était fils de cet Ephratéen de Bethléem de Juda nommé Isaï, qui avait huit fils; cet homme, au temps de Saül, était vieux, avancé en âge. (1 Samuel 17, 12)

  • Les trois fils aînés d'Isaï étaient allés suivre Saül à la guerre; et les noms de ces trois fils qui étaient allés à la guerre étaient Eliab l'aîné, Abinadab le second, et Samma le troisième. (1 Samuel 17, 13)

  • David était le plus jeune. Les trois aînés suivaient Saül, (1 Samuel 17, 14)

  • et David allait et venait d'auprès de Saül, pour paître les brebis de son père à Bethléem. (1 Samuel 17, 15)

  • Saül et eux, et tous les hommes d'Israël, sont dans la vallée de Térébinthe, faisant la guerre aux Philistins. » (1 Samuel 17, 19)

  • Lorsqu'on eut entendu les paroles prononcées par David, on les rapporta à Saül, qui le fit venir. (1 Samuel 17, 31)

  • David dit à Saül: « Que le coeur ne défaille à personne! Ton serviteur ira combattre contre ce Philistin. » (1 Samuel 17, 32)

  • Saül dit à David: « Tu ne peux aller contre ce Philistin pour combattre avec lui, car tu es un enfant, et il est un homme de guerre depuis sa jeunesse. » (1 Samuel 17, 33)

  • David dit à Saül: « Lorsque ton serviteur faisait paître les brebis de son père, et qu'un lion ou un ours venait et enlevait une brebis du troupeau, (1 Samuel 17, 34)


“É doce o viver e o penar para trazer benefícios aos irmãos e para tantas almas que, vertiginosamente, desejam se justificar no mal, a despeito do Bem Supremo.” São Padre Pio de Pietrelcina